L’utilisation du français québécois dans le roman
En tant qu’auteur.e, vous êtes-vous demandé si vous pouviez écrire dans votre roman : « Je me suis arrêté aux lumières » pour vous exprimer en français québécois? Pensez-vous que vous devriez vous en tenir à la bonne manière d’employer « lumières » en français : « Je me suis arrêté aux feux de circulation »? Oseriez-vous utiliser des mots comme « fin de semaine » ou « magasiner »? Voici quelques explications pour vous aider à prendre une décision .